samedi 17 décembre 2016

Semaine 13
Aujourd’hui, pour le cours final, on a fait une révision des ressources qu’on peut utiliser pour enseigner l’éducation autochtone. On a eu quelques discussions en groupe et on a analysé plusieurs sites web. C’était un privilège de faire partie de ce cours, et j’espère que je puisse bien enseigner avec les principes d'apprentissage des peuples autochtones. Ce que m’a frappé le plus pendant ce cours est l’emphase sur les relations. Il faut établir, développer et maintenir des bonnes relations. Voici quelques ressources que Jan Hare a partagées avec nous :

Teaching for Indigenous Education (www.indigenouseducation.educ.ubc.ca)
Deepening knowledge (oise.utoronto.ca/deepeningknowledge)
Martin Family Initiative
First Nations Education Steering Committee (http://www.fnesc.ca)


Je remercie tous mes professeurs de ce cours, ainsi que les assistants et les enseignants, pour tout l’effort qu’ils ont pris pour nous donner une expérience exceptionnelle dans ce cours et un apprentissage très approfondi des enjeux autochtones.

jeudi 8 décembre 2016


Semaine 12
Aujourd’hui la professeure nous a parlé de quoi faire quand on invite un membre Autochtone à notre école. Premièrement, il faut entrer en contact avec l’agent de liaison dans la commission scolaire. Pour trouver cette personne on peut simplement chercher sur Google « Aboriginal Education + School District ». Il faut savoir comment inviter l’invité. Il faut avoir un honoraire prête pour quand l’invité arrive. C’est possible qu’il faille organiser la transportation. D’ailleurs, c’est bien de demander à l’invité comment on doit lui introduire. Finalement, on doit assurer que les élèves soient prêts pour l’invité, qu’ils savent comment agir, et qu’ils connaissent des phrases de politesse, etc.
D’autre part, elle nous a dit que si vous êtes invités par un membre autochtone a un évènement dans la communauté, assurez-vous d’être la! C’est une excellente occasion de développer des liens importants.

Sur un autre point, un ressource littéraire qu’elle nous a introduit est Missing Nimama par Melanie Florence. Il y a aussi une série de Podcasts par CBC qui s’appelle Missing and Murdered

samedi 3 décembre 2016

Semaine 11

Pour ce cours on a parlé de l’importance de la langue. En préparation pour le course on a lu l’article par Linda Akan, « Pimosatamowin Sikaw Kaleequaywin : Walking and talking- a Saulteaux elder’s view of native education ». C’était difficile à lire de fois, car il y a beaucoup de  mots dans la langue des Saulteaux. Cependant, j’ai appris beaucoup sur les philosophies de comment les peuples autochtones voient l’éducation à travers la langue. Par exemple, il faut toujours être reconnaissant, la persévérance est une caractéristique souhaitable, et la parole est puissante. C’est incroyable de voir qu’il y a plus de 60 langues autochtones, mais on ne les entend jamais. Plus que 213 000 personnes au Canada ont une langue maternelle autochtone et plus que 213 000 parlent cette langue à la maison. En même temps, il y a une crise de langues, car il y a déjà quelques langues autochtones qu’on n’entend plus au Canada. Pendant le cours on a eu une discussion sur le lecteur qu’on a lu. On a aussi appris que, quand on enseigne la langue autochtone dans les écoles, il faut apprendre et enseigner les verbes, car les verbes sont très importants dans les langues autochtones. De plus, on a parlé de comment la culture autochtone a influencé les perspectives autochtones, même dans la langue anglaise. En conclusion, la langue, et la culture, sont interconnectées et doivent être tous les deux intégrés dans l’éducation.


samedi 26 novembre 2016

Semaine 10

Gwigwalayu (pour les enfants)
Mercredi passé on a eu la visite de Kaleb Child. Des enfants sont sa passion, et il a une grande influence sur les changements dans le système d’éducation dans des populations autochtones. Il nous a conseillés de « se souvenir toujours de pourquoi vous avez choisi d’être enseignant ». En premier lieu, c’est pour les enfants (Gwigwalayu).
Il nous a enseigné qu’il faut défaire doucement, respectueusement, et tendrement les histoires des autochtones qui ont été mal racontées.

Considérons le langage qu’on utilise. Nous devrons être des « facilitateurs de l’apprentissage » et non des « agents de scolarité ».
Photo 1: Child nous a raconté un peu de l'histoire de Thunderbird. Thunderbird a atterri sur la territoire des Musqueam, d'où vient Child. C'est là que Thunderbrid a été transformé en forme humaine.


samedi 19 novembre 2016

Semaine 9

Ullukuut, c’est-à-dire, « bon après-midi » en Inuktitut.

J’ai vraiment aimé l’histoire de Coyote que Professeure Jan Hare a présenté à la classe mercredi après-midi. C’est dans les cours comme cela que nous développons une appréciation pour les histoires orales. À travers de cette histoire nous avons appris plusieurs techniques et caractéristiques des histoires orales.
  • ·         c’est une représentation artistique de la vie
  • ·         il y a des histoires dans les histoires
  • ·         le bout principal de l’histoire n’est pas nécessairement très clair.
  • ·         il y a plusieurs voix
  • ·         les indices peuvent être verbaux ou par des gestes.
  • ·         il y a des éléments spirituels
  •       le narrateur porte beaucoup de responsabilités quand il raconte une histoire

En conclusion, il y avait dans le passé une représentation erronée des histoires autochtones. Il faut respecter les vraies histoires autochtones en considérant les techniques de la tradition orale. 

mardi 15 novembre 2016

Alwyn Morris


Alwyn Morris est un kayakiste qui a gagné deux médailles dans les Jeux olympiques de 1984 à Los Angeles. Il est né le 22 novembre 1957 dans le village de Kahnawake, Québec. D’origine Mohawk, il était élevé sur le territoire des Mohawks. 

Il grandit avec ses grands-parents, depuis que son grand-père est tombé malade. Son grand-père était son modèle et inspiration. Alwyn Morris a pratiqué plusieurs sports pendant sa jeunesse tels que le lacrosse, le hockey, et le base-ball. Quand un club d’aviron est ouvert près de chez lui, sa carrière sur l’eau a vu son début. Il a continué sa carrière à Burnaby, en Colombie-Britannique. C’est là qu’il a rencontré une autre source d’inspiration : un pygargue le suivit dans ses entraînements, du début jusqu’au bout. Malgré le fait que certaines personnes l’ont dit qu’il n’avait pas ce qu’il fallait pour être championnat, Morris a poursuivi sa passion. Son grand-père et le pygargue étaient des grandes sources d’inspiration pour l’athlète.

En 1977 il a aussi reçu le Tom Longboat. Ce prix est attribué aux athlètes autochtones qui ont été élu le meilleur athlète autochtone de l’Amérique du Nord. En 1980 il a participé dans les jeux de Moscou, dans le sport canoë-kayak-course de vitesse. Ensuite, il a gagné la médaille d’argent dans le K-21 000 mètres aux Championnats du monde 1982 à Belgrade.  Subséquemment il a gagné la médaille de bronze dans le K-25 000 dans les championnats du monde 1983 à Tampere. Le climax de sa carrière en tant qu’athlète était pendant les olympiques de 1984 à Los Angeles. Il a gagné la médaille d’or dans l’épreuve du 21 000m canoë-kayak course de vitesse. De plus, il a gagné la médaille de bronze dans le 25 000m canoë-kayak course de vitesse. De plus, en 1988 il a participé dans les Jeux olympiques de 1988 à Séoul.

Après sa récognition mondiale, Morris a résolu de développer des programmes de sport afin d’encourager les jeunes autochtones à être engagés dans des sports. Il est reconnu aujourd’hui non seulement pour ses accomplissements, mais aussi pour son exemple en tant que modèle pour les jeunes autochtones partout au Canada.
Pour plus d’information, veuillez voir le site web http://alwynmorris.weebly.com/index.html.
Figure 1: Alwyn Morris, avec la plume de pygargue, et Hugh Fisher. Ce sont des gagnants dans les Jeux olympiques de 1984. ( http://alwynmorris.weebly.com/)

Bibliographie

Alwyn Morris. (2016). Récupéré sur Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Alwyn_Morris
L'équipe olympique canadienne. (2016). Récupéré sur Alwyn Morris: http://olympique.ca/ressources/leadership-alwyn-morris/

Schilling, V. (2016). Alwyn Morris. Récupéré sur Alwyn Morris: http://alwynmorris.weebly.com/